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Chuck

by Chuck Labelle

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1.
Quand on a que’qu’chose su l’coeur, c’est bon d’en parler Si on attend trop longtemps, on pourra rien changer Dire tout bas: “J’ai d’la misère, j’sais plus ou m’garrocher J’avais besoin d’un bon coup d’main, j’ai l’esprit tiraillé.” J’avais l’sourire d’un enfant, rien n’pouvait me nuire Mais quelque part dans ma p’tite vie, j’ai bien failli mourir Comme un enfant...innocent, dans le grand jeu d’la vie Toujours poussé à aller d’l’avant, j’pouvais pas m’en sortir Refrain: Y’a rien comme le fou rire, quand on veut s’encourager Y’a rien comme une oreille, quand on doit partager Vivr’ au jour le jour, reprendre sa liberté Ça fait du bien d’en parler 15 - 16 ans, j’sais plus quoi faire, j’ai perdu le goût d’rire J’me sens trompé, j’me sens brûlé, mais pas capable de l’dire Hey le jeu d’la vie c’est jamais fini, mais j’pouvais pu m’en sortir Personne voyait l’enfant fragile, on l’avait oublié Refrain: . . . 2X
2.
Hey maman 03:20
À 14 ans, j’m’en souviendrai toujours J’courais souvent les filles, j’cherchais l’amour J’me d’mandais: “C’est quand mon tour?” 15 ans, J’étais le plus fort J’me battais dans cour d’école, j’m’en souviens encore J’pensais impressionner les femmes avec mon corps Hey maman, Hey maman Hey maman, Hey maman J’voulais tout simplement savoir comment m’y prendre pour faire l’amour J’voulais tout simplement savoir comment m’y prendre pour faire l’amour 16 ans, j’étais le plus beau J’me promenais souvent tout d’seul dans mon auto Ma ‘68 Fairlane, c’était pas qu’le show Hey maman, Hey maman Hey maman, J’te d’mandais pas grand-chose J’voulais tout simplement savoir comment m’y prendre pour faire l’amour À 17 ans, j’ai perdu ma confiance J’sortais plus, j’courais même plus les danses À 18 ans, j’avais manqué ma chance Hey maman, Hey maman Hey maman, Hey maman J’voulais tout simplement savoir comment m’y prendre pour faire l’amour
3.
Si tu veux changer le monde à coups d’idées Cache tes blessures, dis-toi qu’c’est du passé T’as l’goût de r’commencer, faire table rase, tout effacer Tes pas l’premier pis tu s’ras pas l’dernier Refrain: Si tu veux parler d’amour, si tu veux changer l’décor Si c’est ben c’que tu veux faire, y’est jamais trop tard Aux nouvelles on parle de trop d’conflits armés De jalousie, d’abus, de Préjugés On chante la gloire des hommes qui s’font la guerre Qui partout font de grosses affaires Tu d’dis qu’ce s’rait si beau de tout changer Refrain: À force d vivr’ le mensonge et le doute À force d’entendre dire qu’y a rien à faire T’as parfois l’goût d’abandonner Mais dis-toi ben qu’y faut pas lâcher Y’aura toujours l’espoir, faut ben y croire Refrain:
4.
Ils habitent les ruelles, les enfants du chagrin Grattent les fonds d’poubelles, avares de lendemains À l’ombre des cheminées, cherchent la sortie d’secours Voient leur avenir bloqué, leurs rêves à contre-jour Les enfants de la rue ont pourtant droit à leur sourire à leurs amours, à leurs bonheurs, à leurs plus beaux délires Les enfants de la rue, ‘faudrait peut-être leur tendre la main faire sauter les chaînes qui retiennent, leur rendre c’qui leur revient Les enfants de la rue Le cri comme un couteau, le regard interrompu Le ventre pris dans un étau, les raisons inconnues Et sous un ciel qui gronde, dans un monde épuisé Les grands combats reprennent, pour ces soldats du pavé Les enfants de la rue ont pourtant droit à leur sourire À leurs amours, à leurs bonheurs, à leur plus beaux délires Les enfants de la rue, ‘faudrait peut-être leur tendre la main Faire sauter les chaînes qui retiennent, leur rendre c’qui leur revient Les enfants de la rue Les enfants de la rue, ‘faudrait peut-être leur tendre la main Faire sauter les chaînes qui retiennent, leur rendre c’qui leur revient Les enfants de la rue Ils habitent la ruelle... la ruelle derrière chez nous
5.
Not’ p’tit coin d’terre, not’ vieux camion un peu rouillé Le chien, le chat et pis les enfants à élever Les taxes augmentent pis y’a des factures à payer Etre si heureux c’est compliqué On parle de stresse entr’ deux annonces à la télé On parle de p’tites pilules qui vont tout arranger “Travaille, travaille, trouve-toi deux jobs, ‘faut s’débrouiller” Etre si heureux c’est compliqué Arrive la fin d’semaine Pas l’temps de se r’poser Les courses à faire pis la maison à nettoyer Pis l’samedi soir tout l’monde s’ra là pour le hockey Etre si heureux...c’est compliqué “Pédale, pédale mon Chuck, on parle de mises à pied Y faut qu’on double les ventes avant la fin d’l’année Mange ton sandwich, t’as même pas l’temps d’boire ton café” Etre si heureux c’est compliqué Perdu mon job, ben oui, la mine y l’on fermée J’achète ma caisse de douze, j’m’installe devant la télé C’pas grave y’a des téléromans toute la journée Etre si heureux c’pas compliqué Arrive la fin d’semaine Pas l’temps de se r’poser Les courses à faire pis la maison à nettoyer Pis l’samedi soir tout l’monde s’ra là pour le hockey Etre si heureux...c’pas compliqué
6.
Le cow-boy 03:31
Y’ vit sa vie, c’est ben c’qu’y disent... y’est un cow-boy Fier et fort, y couche dehors... Y’est un cow-boy Jamais stressé, y’est pas pressé, une cigarette pour se r’poser Le héros du grand écran, c’est le cow-boy Les demoiselles le trouvent si beau... Y’est un cow-boy Elles voudraient bien lui faire la cour... lui faire le tour! Toujours alerte, y’a pas la tête folle, un homme de valeurs et de parole Le grand sauveur en denim blanc, c’est le cow-boy Yipee yiyow yipee yiyay Le samedi soir, y aime ben danser... yodelayee Le vent dans ‘face, fouetté par la pluie Y’ira pas ben ben loin aujourd’hui Un feu solitaire, les yeux vers l’Ouest “Ya baby... I’m the best...” Le samedi soir, y ramasse sa blonde, sa cow-girl Pis y vont danser un p’tit set carré Vous savez c’que j’veux dire! Trois, quatre pas sur la piste de danse pis c’est un vrai party Parce que lui y’est tellement fin, tellement beau, tellement galant Y fait pas d’tort à personne C’est un gars qui est ben l’fun... y’est un cow-boy Y’est toujours prêt, y’est toujours là C’t’un dur à cuire pis y s’en fait pas Un revolver chaud caresse sa cuisse, son seul contact avec la justice Pousse pas trop fort, ça l’met en crisse, y’est un cow-boy Yipee yiyow yipee yiyay Le samedi soir, y aime ben danser... yodelayee
7.
Lorsque j’me sens seul et ça m’arrive souvent J’pense à toi qui attend mon retour J’marche et je jongle, j’ai peur que tout s’effondre Sauras-tu m’attendre pour toujours? Tes yeux sont clairs, tes pensées sont pures T’es la plus belle que j’aie connue Quand j’te vois sourire, j’veux simplement te dire: “Tu es celle que j’ai toujours voulue...” Lorsque la nuit tombe, entre toi et moi Pourras-tu m’attendre pour toujours? Et si jamais ton coeur, si fragile s’écrase Je s’rai là pour lui porter secours Tes yeux sont clairs, tes pensées sont pures T’est la plus belle que j’aie connue Quand j’te vois sourire, j’veux simplement te dire: “Tu es celle que j’ai toujours voulue...”
8.
Malgré c’qui s’brasse au p’tit écran Malgré les guerres qui se ressemblent Malgré les pleurs de trop d’enfants Malgré les drames qui nous rassemblent N’oublie pas qu’il y a l’amour, n’oublie pas nos espoirs N’oublie jamais... y’aura toujours l’amour Malgré les chefs qui sèment la peur Malgré les discours qu’on entend Malgré les phrases apprises par coeur Les p’tits scandales nourris d’argent N’oublie pas qu’il y a l’amour, le territoire de nos espoirs N’oublie jamais... y’aura toujours l’amour Malgré les dieux à bon marché, malgré les paradis perdus Malgré les promesses essoufflées, malgré la folie dans la rue Malgré les jungles devenues poussière Malgré les héros fatigués Malgré l’ennui et la misère Malgré les horizons bloqués N’oublie pas qu’il y a l’amour, le territoire de nos espoirs N’oublie jamais... y’aura toujours l’amour Malgré les chagrins muets, les politiciens vendus, le chômage, la pauvreté Malgré les dictateurs, la solitude Malgré l’impuissance, l’insignifiance, l’indifférence, l’intolérance, la violence Malgré tout ça... Y’aura toujours l’amour
9.
À 7h30 tous les matins, toujours le même départ Sans perdre de temps, la course reprend, ‘faut faire un p’tit effort Mon père travaille, ma mère aussi, j’ai l’blues de la garderie J’comprends pas mais paraît-il C’est comme ça qu’on vit aujourd’hui Tous les midis, le même sandwich, dans mon p’tit coin tranquille Souvent rêveur , la tête ailleurs, c’est pas toujours facile J’attache bien mon manteau, même mes souliers J’attends la fin d’l’après-midi J’comprends pas mais paraît-il C’est comme ça qu’on vit aujourd’hui Ça prend deux salaires pour arriver Du moins c’est c’qu’on m’a dit Y s’cassent la tête du lundi au vendredi On a deux garages, pis deux autos Pis mes parents sont les plus beaux C’est pas la faute à personne Y veulent toujours monter plus haut Quand j’s’rai grand, adolescent, j’aurai sûrement mes souvenirs J’ai toujours eu le nécessaire, ça va sans dire Mais quelque part, y manque que’que chose À fin d’mon après-midi J’comprends pas mais paraît-il C’est comme ça qu’on vit aujourd’hui J’comprends pas, c’est pas facile J’ai le blues de la garderie J’comprends pas mais parait-il C’est comme ça qu’on vit aujourd’hui
10.
Je cherche les mots qu’il faut, pour me défaire du silence Je veux trouver les mots qu’il faut, pour te dire mon impuissance Seul, mes secrets, mes idées... je veux dormir à poings fermés C’est dans toutes mes pensées mais comment l’expliquer J’ai juste pas les mots pour le dire C’est fou ces regards interdits, c’est fou d’avoir voulu aimer C’est fou ces bêtises d’une nuit, les lendemains qu’on veut oublier Le souv’nir d’une ombre inconnue... d’une étoile filante, perdue C’est dans toutes mes pensées mais comment l’expliquer J’ai juste pas les mots pour le dire J’irai jusqu’au bout avec toi, je fredon’rai un air fragile, Un air qui me vient d’autrefois, un air au refrain malhabile J’y mettrai tout c’que j’ai d’chaleur... je ré-inventerai mon bonheur T’es dans toutes mes pensées, mais comment l’expliquer J’ai juste pas les mots pour le dire C’est dans toutes mes pensées mais comment t’expliquer J’ai juste pas les mots pour le dire
11.
J’ai parcouru toute l’Amérique, j’vis d’une paye à l’autre J’ai jamais su me conformer, pas tout à fait comme les autres Parmi toutes les merveilles, c’est toi que j’ai choisie J’t’ai donné les meilleures années de ma vie C’était le temps du rock C’était le temps du roll D’était le temps du rock’n roll J’ai trop connu la solitude, brassé d’un bar à l’autre J’ai toujours voulu viv’ de mes chansons, pas tout à fait comme les autres Aucun regret, on fait c’qu’on fait, on s’dit qu’tout est permis J’t’ai donné les meilleures années de ma vie C’était le temps du rock C’était le temps du roll C’était le temps du rock’n roll J’ai souvent pensé abandonner, retourner chez moi Refaire les pas de mes ancêtres, sans trop savoir pourquoi Affamé du rythme, séduit par la mélodie J’t’ai donné les meilleures années de ma vie C’était le temps du rock C’était le temps du roll C’était le temps du rock’n roll! 2X

credits

released January 1, 1994

Réalisé par Robert Paquette

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about

Chuck Labelle Sudbury, Ontario

Cowboy du Nord de l'Ontario, sympathique chanteur franco-ontarien et passionné de Noël.

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